© Laurent Dabouineau

 

Vive la colloc’ ?

Bien que le Homard soit généralement solitaire, il n’est pas rare qu’un congre élise domicile dans le même trou. Il y aurait comme un bénéfice (plus ou moins) réciproque entre les deux compères. Le homard pourrait se nourrir des restes de nourriture du congre et le congre lui, profiterait de la mue du homard pour… le dévorer !

 

Deux pinces – deux usages

L’une porte une rangée de petites dents qui lui sert à couper, l’autre, plus massive lui sert à broyer et à déchiqueter ses proies (mollusques, crustacés, vers…). Ces pinces ne sont pas toujours situées du même côté : certains homards sont donc droitiers et d’autres gauchers !

 

Une longévité très importante

La carapace du homard est souple, très robuste mais non extensible ! Comme tous les crustacés, il va donc croître en muant. Si les jeunes changent de carapace plusieurs fois par an, la fréquence des mues diminue avec l’âge… Et le homard peut se faire vieux : il peut vivre une cinquantaine d’années !

 

Quand le mâle en pince pour une femelle…

C’est d’ailleurs quand madame change de robe que monsieur homard va en profiter pour s’accoupler. Lui tout dur, elle toute mole, c’est face à face qu’ils vont se livrer l’un à l’autre. Le saviez-vous : le nombre d’œufs est d’autant plus grand que la femelle est… âgée !

 

Et en Côtes d’Armor ?

Dans le département comme ailleurs, on le trouve sur les fonds rocheux jusqu’à une centaine de mètres de profondeur.

 

N’hésitez à nous transmettre vos observations.

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