Le Prunellier se reconnaît facilement à ses épines dont le piquant peut parfois surprendre lors de nos balades ! Il se différencie de l’aubépine par ses fleurs apparaissant avant les feuilles et son écorce noirâtre, qui lui vaut d’ailleurs le surnom d’épine noire…

Les accouplements s’étalent de février à avril et les pontes d’avril à mai. Particulièrement remarquées en mars, les parades sont composées de poursuites, de cris aigus soutenus « kik-kik-kik-kik » et d’offrandes à la femelle…

Dans son milieu naturel, le Bouquet est translucide. Il ne prend sa couleur rose qu’à la cuisson. Il n’en fallait pas plus au scientifique pour lui donner son autre nom de Grande crevette rose…

Le fait de passer ses journées à sautiller au sol sous le couvert des buissons, à la recherche de son repas, lui a valu le doux sobriquet de « traine buisson »…

Chez le Houx, les sexes sont séparés. On trouve donc des arbres mâles et des arbres femelles. Après fécondation, les fruits rouges n’apparaissent que sur les pieds femelles…

Vu les mensurations de l’animal (corps d’environ 5 cm), les autres appellations de Souris naine ou Souris des moissons semblent plus appropriées…

Reconnaissable à son allure et ses belles mensurations (une taille de près d’un mètre et une envergure d’environ 1,80 m), le Héron cendré fréquente aussi bien les marais, le littoral, les mares et les champs…

En Bretagne, cette belle araignée peut difficilement être confondue avec d’autres espèces. Sa coloration générale est variable, du beige au brun en passant par le roux, mais son abdomen arbore de petites taches blanches qui forment une croix caractéristique, évoquant un diadème…

À la recherche de ses proies, le Cormoran huppé peut sans soucis effectuer des apnées de plus de 2 minutes et dépasser les 50 mètres de profondeur…

La coque est l’un des coquillages les mieux connus des habitués de la pêche à pied, mais savez-vous qu’il existe deux espèces : la Coque commune, la plus abondante, et la Coque glauque, plutôt présente dans les zones dessalées.